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lundi 20 octobre 2008

SIDA ; UNE ARME MILITAIRE

Le SIDA est une maladie digestive ; le risque d'être infecté est essentiellement lié à la pratique de la sodomie. L'Afrique est particulièrement touchée car la sodomie y est souvent utilisé comme méthode contraceptive.

Nous n'inventons malheureusement rien car cela se trouve dans la presse ordinaire : le Monde du 7/11/1998 relate les premiers résultats d'une recherche américaine : "Ces chercheurs révèlent (...) avoir réussi à isoler et à mettre en culture des cellules embryonnaires humaines capables, naturellement, de se transformer et de se multiplier de manière infinie en laboratoire et susceptibles de donner naissance aux différents tissus composant l'organisme humain. (...) On a également découvert que l'introduction dans les cellules humaines cultivées ex vivo d'un gène provenant d'un virus cancérigène -- le virus SV40 -- leur conférait un potentiel illimité de division. Cela a permis la création de lignées de cellules provenant de certains organes : foie, rein, cartilage..

Faits et chiffres- Croix-Rouge canadienne

Le sida en Afrique australe

En 2003, le sida a fait plus de 3 millions de morts à travers le monde, dont 2,2 à 2,4 millions en Afrique subsaharienne. Cette même région compte environ 12,3 millions d’orphelins du sida. (ONUSIDA)

Près de 40% des adultes du Swaziland sont séropositifs au VIH. (ONUSIDA)

Espérance de vie: Malawi, 38 ans; Zimbabwe, 34 ans; Zambie, moins de 33. (Rapport sur le développement humain, PNUD)

Le VIH se propage deux fois plus rapidement chez les femmes que chez les hommes



LA MÉDECINE COMME CONTRÔLE DÉMOGRAPHIQUE SUR CERTAINES POPULATIONS-CIBLES



Pourtant, cette escroquerie est modeste auprès du record absolu du mensonge historique : la mafia médicaliste a inventé le virus du sida ! Mais personne n’a jamais été capable d’isoler ce virus ni de l’observer, même avec les microscopes électroniques les plus sophistiqués. En fait, les « inventeurs » du virus se sont contentés de déduire témérairement sa présence d’une activité enzymatique pouvant être causée par des débris cellulaires dans une culture non purifiée. Quant aux images du virus que l’on vous présente, elles sont imaginaires et ne sont que des constructions graphiques fabriquées sur ordinateur. Mais quelle merveilleuse pompe à fric !

Ces données sont extrêmement importantes sur le plan militaire, et sont d'autant plus précieuses que les Indes n'ont jamais été affectées par la fièvre jaune et ne connaissent pas (pas encore ... ) un seul cas de SIDA. Les laboratoires américains (privés) proposaient d'effectuer en Inde des expériences sur des produits qu'ils n'avaient pas le droit de tester au sein de leur propre nation! Et les autorités indiennes ont signé l'accord!

En réalité, le sida est un effondrement du système immunitaire résultant d’un mode de vie défectueux et qui a deux origines principales : Dans les pays développés, c’est l’injection de substances nocives qui finissent par détruire les défenses naturelles (les homosexuels sont toxicomanes en majorité) et, dans le tiers-monde, c’est la dénutrition, donc les carences graves en vitamines et acides aminés qui rendent les organismes vulnérables à toutes les maladies. Si vous avez peine à me croire, je vous conseille de lire, toutes affaires cessantes, le formidable livre de Jean-Claude Roussez et du Dr Étienne de Harven «Les dix plus gros mensonges sur le Sida» (Éd. Dangles). Vous sortirez de cette lecture indigné, mais du moins vous ne mourrez pas idiot !

la médecine officielle est de plus en plus contestée. Car nul ne peut plus ignorer que, de l’aveu même des médecins, 20 % des maladies sont d’origine hospitalière (nosocomiales) et 20 % d’origine médicamenteuse (iatrogènes). Ce qui fait déjà 40 % des maladies causées par… la médecine elle-même ! Les pesticides font le reste.

Le Club de Rome fut fondé le 8 avril 1968 lors d'une réunion à Rome. Il regroupe des membres de l'establishment international de 25 pays (soit une cinquantaine de personnes). Cette association internationale fut créé par le clan Rockefeller qui le finance encore de nos jours. Il a influencé les médias afin de faire croire à une crise de l'énergie et à un surpeuplement de la planète. William Cooper affirme même dans son livre " Behold a Pale Horse " que ce club aurait développé le virus du SIDA et l'aurait répandu dans les populations pour introduire le grand programme d'assainissement des races en vue du gouvernement mondial de l'élite.

On nous cache tout
Le cancer du côlon et du rectum est la deuxième cause de mortalité par cancer au Canada. On estime qu’environ 19 600 nouveaux cas seront diagnostiqués et 8 400 personnes mourront de la maladie cette année au pays.

Le SIDA, une maladie de la drogue.

En réalité, tout porte à croire que VIH et SIDA ont peu en commun. Aux États-Unis, le nombre total de porteur de VIH - environ un million - est resté stable depuis 1985 et tend à diminuer depuis 1996, selon les données statistiques du CDC. Cette caractéristique épidémiologique, mise en évidence par le scientifique anglais William Farr au début du XIXe siècle déjà, signifie que les mécanismes de l’immunité naturelle ont produit les anticorps nécessaires à la neutralisation du virus dans une population donnée.(5) Elle tend à prouver que le VIH est un virus ancien, bien maîtrisé et donc totalement inoffensif.

De son côté, comme on l’a vu, le SIDA n’a pas les caractéristiques d’une maladie infectieuse. Avant que l’hypothèse d’une contamination par le VIH soit médiatisée à l’exclusion de toute autre, plusieurs scientifiques avaient avancé que l’épidémie pourrait être un ensemble de symptômes résultant de la consommation de drogues. En 1981, le New England Journal of Medicine écrivait: " Peut-être une ou plusieurs de ces drogues récréatives sont immunodépressives. Particulièrement les nitrites, qui sont aujourd’hui inhalés de façon routinière pour intensifier l’orgasme. "(6) Plusieurs études vinrent renforcer cette hypothèse. Une équipe anglaise rapporta que 86% des homosexuels masculins atteints de SIDA à l’hôpital St-Mary de Londres avaient inhalé des nitrites, ou poppers. Entre 1983 et 1996, huit autres études réalisées aux États-Unis et en Europe mirent en évidence l’usage abusif de drogues - incluant nitrites, cocaïne et amphétamines - chez tous les patients étudiés.(7)

Bien que décriée par les tenants de l’hypothèse virale du SIDA, l’hypothèse selon laquelle cette maladie serait directement liée à la consommation de drogues immunodépressives n’a cessé d’être confirmée par les statistiques. En 1996, un tiers des Américains et plus d’un tiers des Européens atteints du SIDA étaient toujours les consommateurs de drogues dures, représentant la quasi-totalité des patients féminins ou hétérosexuels masculins. Plus des 60% étaient encore les homosexuels masculins consommateurs de drogues dites récréatives(8). En d’autres termes, l’épidémie de SIDA reste limitée aux groupes à risque initiaux et peut être considérée aux États-Unis et en Europe comme une conséquence épidémiologique de l’explosion du commerce de drogues illicites qui a suivi la guerre du Vietnam. Voilà pourquoi cette maladie n’est pas distribué uniformément parmi la population et pourquoi elle n’est pas contagieuse.

Cocktails immunodépresseurs.

En 1988, le National Institute on Drug Abuse (NIDA) attira pour la première fois l’attention du public sur les conséquences de l’abus de nitrites chez certains homosexuels masculins. Lors d’une conférence organisée en 1994, il fut relevé que l’usage de poppers était toujours en augmentation, notamment du fait de leur capacité à " relâcher brièvement les muscles des sphincters de l’anus et faciliter ainsi la pénétration. "(9) En 1997, The Advocate - un magazine destiné au public homosexuel - lança un cri d’alarme en affirmant que " l’insouciance des années ‘70 est de retour dans les "parties" où les homosexuels s’adonnent à des drogues illicites et une sexualité effrénée avec une désinvolture croissante. "(10)

Sur la base de centaines d’interviews, le magazine gay Out analysa également pourquoi les homosexuels prennent des drogues: " Une fois admis dans la communauté homosexuelle, [ils sont] souvent obsédés par l’idée d’être à nouveau rejetés par les gens du dehors. Pour de nombreux jeunes hommes, cette obsession les conduit à ingérer ou à s’injecter de puissants et dangereux stéroïdes, une tendance qui a démarré dans les années ‘80 et se développe encore aujourd’hui. "(11)

Mais au nom de l’hypothèse virale du SIDA, d’autres cocktails - médicamenteux cette fois - ont été commercialisés dans le but de soigner la maladie ou de prévenir la duplication du VIH. Entre 1987 et 1996, environ 200’000 Américains séropositifs - malades ou sains - reçurent chaque année des prescriptions de drogues comme l’AZT, un composé chimique développé il y a plus de 30 ans contre le cancer, puis abandonné en raison de sa toxicité. L’ingestion d’AZT et autre inhibiteurs de protéase est généralement accompagnée d’une liste effrayante d’autres médicaments, destinés notamment à pallier aux effets secondaires des premiers.

Morts sur ordonnance.

A titre d’exemple, la polypharmacie consommée journellement par un patient atteint de SIDA peut comprendre entre autres: Azidothymidine [AZT], Crixivan [inhibiteur de protéase], Acyclovir ou Zovirac [contre l’herpès], Myphyston [contre la cirrhose et l’hépatite], Nizoral ou Diflucan [fongicides], Hisminal [anti-bronchitique], Valium [anti-dépresseur], etc. sans compter les assortiments de vitamines et compléments alimentaires.

La plupart de ces composants sont toxiques pour les cellules et immunodépresseurs. Une prescription quotidienne d’AZT destinée à stopper la régénération des cellules provoque rapidement l’anémie, des nausées et une perte de poids. Dès 1990, le National Cancer Institute (NCI) rapporta que cette drogue augmentait le risque d’un cancer de la lymphe d’un facteur cinq. Mais d’autres études allant dans le même sens n’ont pas été publiées afin de ne pas compromettre la demande d’autorisation déposée par la firme Burroughs & Wellcome. Si le caractère cancérigène - déjà bien établi - de l’AZT était confirmé, la plupart des thérapies chimiques actuellement utilisées aux États-Unis contre le SIDA deviendraient illégales dans la foulée.

Une des preuves les plus éclatantes de la toxicité de ces drogues réside simplement dans le fait que les patients guérissent lorsqu’ils cessent d’en consommer. Une étude collective européenne datant de 1994 rapporte que 60% des bébés étudiés, nés de mères héroïnomanes, n’avaient plus de symptômes infectieux à l’âge de 6 ans en dépit de leur séropositivité. Les 40% restant moururent, ce qui correspondait exactement aux enfants traités à l’AZT. Un autre exemple est fourni par Roger Cobb, un séropositif de Philadelphie qui avait été un consommateur de crack et de cocaïne pendant plus de vingt ans. Après 14 mois de traitement à l’AZT, il avait développé une allure cadavérique: " Mon visage était creusé, ma peau terreuse; je perdais du poids, etc. Contre l’avis de mon médecin, j’ai décidé que l’AZT n’était pas pour moi. " Le résultat ? " Mon état est bien meilleur, je me retrouve enfin. " ajoute Roger qui prépare à 40 ans une maîtrise de travailleur social.(12)

Marc-André Cotton

L’Afrique est le pays le plus vacciné au Monde et c’est aussi là où il y a le plus de cas de sida étrangement! Le vaccin causerait-il le sida ?

Le continent africain a été infecté en 1977, à travers la campagne de vaccination contre la variole. La vaccination a été réalisée par l'OMS. Le Dr Strecker assurait qu'en l'espace de 15 ans, toute l'Afrique serait dévastée, si on ne trouvait pas le remède! Certains pays ont dépassé depuis longtemps le stade de l'épidémie!


DÉBUTS DU SIDA PAR LES VACCINS MILITAIRES

Prenons l'AFRIQUE comme exemple. Nous constatons la disparition presque , complète (50 % de morts, prédisent les plus optimistes, 70 % de morts, les moins comme optimistes) de certains peuples africains. Comme par hasard, il y en a plusieurs dans la même région: Zaïre, Ouganda, extrême sud du Soudan. En 1967, à Marburg (R.EA.), sept chercheurs, travaillant sur des singes verts d'Afrique, sont morts frappés d'une fièvre hémorragique inconnue. En 1969, comme par hasard, la même maladie tue un millier (1000) de personnes en Ouganda. En 1976, une nouvelle fièvre hémorragique inconnue tue dans le sud du Soudan... puis au Zaïre... Sachons que, comme par hasard, - au cours du procès intenté à la C.I.A., Dr. Gotlieb, cancérologue, a reconnu avoir déversé, en octobre 1960, une grande quantité de virus dans le fleuve Congo (au Zaïre) pour le polluer et contaminer les populations qui utilisaient son eau. Dr. Gotfieb a été nommé à la tête du N. Cl (National Cancer Institute). (Ce sont les recherches fouillées du Dr. Eva Snead qui nous ont permis l'accès à cette information.) - depuis 1968, des virologues (spécialistes en virus) avaient installé leur matériel sophistiqué en milieu hospitalier au Zaïre.


D'OÙ VIENT L'ÉPIDÉMIE DU SIDA?



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En préparant un numéro spécial sur la grippe aviaire pour un magazine médical, deux chercheurs ont découvert que cette pandémie, si elle a lieu, ne sera pas due au virus H5N1, mais à un pathogène breveté par les États-Unis, le mycoplasme. Par Donald W. Scott, Maître ès lettres et ès sciences et William L. C. Scott © 2006. Lorsque nous avons commencé à rassembler autant de données cruciales que possible à propos de la grippe, nous étions bien loin de nous imaginer dans quel bourbier nous allions nous fourrer. Nous pensions que la grippe était une maladie qui revenait fréquemment chez l’homme, les oiseaux et les animaux… surtout quand ces groupes cohabitaient plus étroitement que d’ordinaire. Nous savions également que certains groupes tels que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les National Institutes of Health (NIH) et les Centers for Disease Control (CDC) américains, de même que certains groupes de médias comme le New York Times, claironnaient à tous vents « La grippe arrive, la grippe arrive ! ».

Un cancer simiesque dans un vaccin ''britannique''

Au fur et à mesure que nous réunissions les faits, nous avons pris conscience que nous n’avions pas affaire à une éventuelle pandémie de grippe ordinaire. Nous avons nous-mêmes été stupéfaits par le tableau qui se dessinait. La citation qui suit est extraite d’un document du gouvernement américain intitulé « The Virus Cancer Program » (Programme de lutte contre les cancers d’origine virale). Sur la couverture figurent la date de juin 1978 et les informations éditeur : « Division of Cancer Cause and Prevention; US Department of Health, Education, and Welfare; Public Health Service; National Institutes of Health ». À la page 19, on peut lire : « … divers vaccins à adénovirus vivant atténué ont été administrés à des populations humaines choisies comme mesure de lutte contre les infections respiratoires débilitantes. Les choses se sont encore compliquées lorsque l’on a découvert que le papovavirus oncogène [c’est-à-dire ‘tumorigène’] SV40, prélevé sur les cellules simiesques utilisées pour propager les adénovirus, était présent en quantité importante dans ces préparations vaccinales. Puisque des virus hybrides dotés de diverses fonctions biologiques ont été isolés à partir de populations mixtes adénovirus-SV40, ces vaccins à adénovirus renfermaient certainement des virus recombinants de ce genre. Ainsi, plus d’un million de personnes se sont faites inoculer des spécimens représentatifs de deux groupes de virus à ADN aux propriétés oncogènes avérées ».
Autrement dit, le gouvernement des États-Unis a injecté un virus simiesque cancérigène à un million de citoyens américains. Dans les années 60, des millions d’habitants du Tiers-monde ont été rassemblés par les militaires étrangers qui occupaient leur pays et vaccinés gratuitement contre la variole. Les troupes d’occupation étaient principalement françaises, britanniques, belges et portugaises, et le généreux donateur du vaccin gratuit contre la variole était officiellement l’Organisation mondiale de la santé, mais en fait c’est le gouvernement américain qui a envoyé 17 équipes d’employés du CDC d’Atlanta vacciner des millions de personnes. On a dit aux bénéficiaires de cette largesse américaine que le vaccin les aiderait à échapper à la variole. Cependant, il s’avère aujourd’hui qu’ils attrappaient autre chose en échange : le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), le rétrovirus supposé provoquer le syndrome d’immunodéficience acquise (sida).
Si l’on s’en donne la peine, on peut trouver des preuves incontestables montrant que le sida, qui tue actuellement près de 8 000 personnes par jour, a été pour l’essentiel « fabriqué aux États-unis »1.

À ce propos, soulignons que le président George Bush a déclaré en septembre 2005 qu’il risquait d’être obligé de faire appel à l’armée pour administrer le programme de vaccination et confiner les dissidents dans des camps de concentration jusqu’à ce qu’eux aussi acceptent le vaccin proposé. Souvenez-vous que le Portugal et la Belgique ont fait appel à l’armée pour veiller à ce que les citoyens des colonies occupées en Inde (Goa) et en Afrique acceptent les vaccins « gratuits » contre la variole qu’on voulait leur administrer à tout prix au milieu des années 60 et au début des années 70.
Le vieux truc consistant à dire « Voici un vaccin gratuit » a marché avec les pays du Tiers-monde qui ont involontairement échangé la variole contre le sida.
Il y a tout lieu de croire que cela marchera encore, sauf que cette fois, pour le reste d’entre nous, ce sera dans cinq ans voire avant, lorsque cette nouvelle maladie mortelle aura manifesté sa présence. En outre, comme nous l’avons découvert, elle a probablement déjà bien démarré. Cela ressemblera à la grippe, cela tuera comme la grippe, et les séquelles bactériennes seront là aussi. Mais ce ne sera pas la grippe !

Une maladie « semblable à la grippe » inventée par des pions-chercheurs au solde de Londres.

Ce que nous redoutons, c’est que le monde ait une nouvelle occasion d’échanger une maladie ancienne (une grippe virale) contre un mal nouveau : une « maladie semblable à la grippe » provoquée par une espèce de mycoplasme. En fait, si nos pires craintes se confirment, une grande partie de la population humaine a déjà été contaminée par ce nouveau pathogène mortel. Il a été mis au point à partir de son ancêtre naturel par les organismes gouvernementaux américains de recherche, développement, essai et déploiement d’armes biologiques aidés de leurs partenaires universitaires et commerciaux.

Une nouvelle génération d’armes biologiques

Aujourd’hui, on a du mal à envisager ce scénario alarmiste, mais qui, en 1950, aurait pensé qu’à peine 50 ans plus tard l’épidémie du sida tuerait 8 000 personnes par jour ?
Leonard Horowitz a publié en 2001 Death in the Air (p. 171) : « … en 1970, juste après que le conseiller à la sécurité nationale Henry Kissinger eut appelé à un dépeuplement drastique du Tiers-monde, ce qui a amené le Congrès à subventionner secrètement une nouvelle génération d’armes biologiques mises au point par Litton Bionetics, un contrat prévoyait de tester des souches spéciales de virus de la ‘grippe’ et de ‘para-grippe’. Comme je l’ai reporté dans Emerging Viruses: AIDS & Ebola – Nature, Accident or Intentional?, ces virus de la grippe ont été recombinés avec des virus de la leucémie pour leur seul usage rationnel : la réduction de la population. Tout comme le virus du sida, ces nouvelles souches pouvaient être disséminées plus rapidement pour provoquer un génocide progressif dont l’auteur ne serait jamais retrouvé. » En outre, bon nombre des protagonistes qui sont apparus dans cette étude sur la grippe avaient déjà été rencontrés dans notre étude sur l’origine du sida, où nous avions découvert qu’il s’agissait d’une arme stratégique de régulation des populations.
EN DÉPIT DE TOUT CELA, les autorités continuent non seulement à vacciner nos enfants du berceau à l'école, mais elles étendent cette pratique aux adultes. Non contentes d'exercer leurs ravages chez nous depuis les vingt dernières années, elles les proposent au monde entier. Sachons que 45 % des fonds de l'Unicef sont affectés à la vaccination des pays du Tiers-Monde, tandis que 17 % seulement sont consacrés à l'eau et à l'assainissement, bien qu'un rapport dû à cette même Unicef précise que "une personne sur cinq dans le monde ne dispose toujours pas d'eau et d'un système d'assainissement fiable"! Les enfants du Tiers-Monde ont besoin d'eau propre et de nourriture, non pas d'agents agressifs qui les font mourir comme des mouches. Les vaccinations massives des pays d'Afrique ont décimé ces populations par leurs effets immédiats et, maintenant, par le sida... Et on persiste toujours de vacciner! Mieux encore, les autorités mondiales ont lancé le PÉ.V. (Programme Élargi de Vaccination universelle des enfants) dont l'objectif est la vaccination de tous les enfants du monde contre les six maladies les plus communes de la petite enfance: poliomyélite, diphtérie, tétanos, rougeole, coqueluche, tuberculose.


Réalisons que: les autorités nous tiennent un discours bien différent de la réalité.

La vraie épidémie, c'est la vaccination.

VACCINS QUI DONNENT LE SIDA

Que les CLSC cessent de transmettre le SIDA et les LEUCÉMIES INFANTILES par les vaccinations.


LA VACCINATION EST UNE GUERRE BACTÉRIOLOGIQUE UTILISÉE PAR LES MILITAIRES DU Royaume-Uni contre des populations cibles.

CONTRÔLE DÉMOGRAPHIQUE DU GÉOPOLITIQUE DE LONDRES par les vaccins (V.I.H. et autres)

La vaccination est utilisée comme arme bactériologique depuis longtemps…que ce soit pour décimer des populations précises p. 125 G. Lanctôt

En 1992 ou 1993, on a découvert "Une maladie semblable au sida et qui a fait 60 000 morts dans le sud du Soudan... On l'appelle la maladie tueuse. Des familles, des villages entiers ont disparu... Cette maladie, le Kala-azar.. se traduit par de la fièvre et l'amaigrissement des malades. Les symptômes sont les mêmes que ceux du sida. Le système immunitaire est déficient et on meurt d'autres affections... "

Il est évident que l'Afrique, surtout les pays du centre et du sud, contiennent des ressources fabuleuses qui ont toujours suscité la convoitise des Occidentaux. Malheur à ceux qui résistent! Les colonies ont disparu... mais pas le colonialisme...

La paranoïa serait-elle une forme de conscience?, - Kerry Thornley
Expérimentation = extermination des minorités dérangeantes

La vaccination sert d'expérimentation pour tester de nouveaux produits sur un grand échantillonnage de population.

Sous le couvert de la santé, on vaccine les gens contre une pseudo-épidémie avec les produits que l'on veut étudier. Le vaccin de l'hépatite B semble être le choix des autorités pour accomplir ce but. Or, ce vaccin est fabriqué par manipulation génétique: il est donc beaucoup plus dangereux que le vaccin traditionnel parce qu'il inocule dans l'organisme des cellules étrangères à son code génétique. Plus encore, ce vaccin, produit à partir de virus cultivés sur des ovaires de hamster de Chine (de quoi auront l'air nos descendants?) est réputé pour occasionner des cancers du foie. Malgré cela, il jouit d'une grande popularité auprès des autorités qui l'imposent d'abord par la force à tous ceux qui travaillent dans le domaine de la santé, puis au reste de la population ou d'emblée à toute la population pour les autochtones.

En 1986, les autorités médicales ont administré aux enfants des natifs d'Alaska le vaccin contre l'hépatite B. Sans explication. Sans le consentement des parents. Beaucoup d'enfants sont tombés malades et plusieurs sont morts. Il y avait, semble-t-il, un virus appelé RSV (Rous Sarcoma Virus) dans le vaccin...

Les tribus autochtones d'Amérique sont soumises à de nombreuses vaccinations. Ces peuplades difficiles à soumettre et qui possèdent de grandes étendues de terres que les multinationales voudraient bien récupérer pour leur bénéfice...

Dernièrement, je rencontrai un groupe de femmes autochtones pour leur parler de santé.
Le sujet des vaccinations vint sur le tapis. Je leur fis part de certaines informations à ce sujet quand, brusquement, l'infirmière du groupe me confia que le gouvernement fédéral leur accordait toute liberté dans la gestion de leur santé, mais à une condition expresse: qu'elles respectent scrupuleusement les programmes de vaccination pour tous. Un grand silence se fit... Nous venions toutes de comprendre.

- En 1988, au cours d'une interview à la radio, un ambassadeur du Sénégal rapportait les ravages du sida dans son pays où des villages entiers sont décimés. Quelques années auparavant, des équipes scientifiques et médicales étaient venues vacciner leurs habitants contre l'hépatite B. La maladie touchait les personnes vaccinées.

- En 1978, on procéda aux essais d'un nouveau vaccin sur les homosexuels de New York et, en 1980, sur ceux de San Francisco, Los Angeles, Denver, Chicago et Saint-Louis. Ce "nouveau vaccin", officiellement contre l'hépatite B, causa la mort par le sida de plusieurs d'entre eux, comme nous le savons maintenant. La première hécatombe officiellement reconnue du sida.

Le programme de vaccination des homosexuels contre l'hépatite B était commandé par l'O.M.S. et le N.LH. (National Institute of Réalth). Leur collaboration meurtrière n'était pas nouvelle.

- En 1970, ils menaient ensemble une étude sur les conséquences de certaines bactéries et virus inoculés aux enfants lors des vaccinations.

- En 1972, cette étude devint plus spécifique aux virus qui provoquaient un affaiblissement de la fonction immunitaire.

Woff Szmuness dirigea les expérimentations antihépatite B menées à New York. il a fait connaître les liens existant entre le Blood Center (où il avait son laboratoire) et le N.LH., le XCL (National Cancer Institute), le FDA., l'O.M.S., et les écoles de Santé Publique de Cornell, Yale et Harvard.

En 1994 se déroule, au Canada, une vaste campagne de vaccination antihépatite B, inutile, dangereuse, coûteuse... et cachant quoi?...

LE PROJET SIDA !
Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 384 à 386)

Aurelio Peccei a proposé plusieurs projets, tous secrets. Le projet principal consistait à développer un microbe, qui attaquerait le système immunitaire, et pour lequel un vaccin serait presque impossible à développer. L'ordre a donc été donné de développer ce microbe, sans oublier les moyens prophylactiques et une thérapeutique appropriée. Le microbe devait être dispersé dans le population, les moyens prophylactiques seraient réservés à l'élite. Quand la population aurait sffisamment baissé, on pourrait officiellement anoncer la découverte du médicament pour soigner les survivants. Il est clair que le médicament existait depuis le début de l'opération. Ce projet fait partie intégrante du projet Global 2000. Maintenant c'est à vous de deviner comment s'appelle ce microbe? Évidemment, il s'agit du virus du Sida!

Le projet a été approuvé par le Congrès en 1969, sous le numéro de code H.B.15090. 10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commmission de Sénat ont révélé qu'un « agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n'existe pas dans la nature et contre lequel l'organisme est incapable de produire des anticorps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les 5 à 10 ans à venir Il est primordial qu'il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ». Sir Julian Huxley dit à ce sujet: « La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ».

Le projet SIDA, qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D'après les explications du Dr. Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie, (bovin leikemia) avec des virus « visna » du mouton, et on les a injectés dans du tissu humain.
Comme il fallait agir sur une grande partie de la population, on a commencé par les populations « indésirables »: les Noirs, les hispaniques et les homosexuels ont été encouragés d'un côté à exprimer leur différence, d'un autre côté ils se sot retrouvés sur la liste des personnes à éliminer.

L'OMS (Organisation Mondiale de la santé) a collaboré à ce projet, aux côtés du National Cancer Institute. Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l'homme. En 1972, l'OMS publiait ce genre de propos: « Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endomageait les processus antiviraux de la cellule ».
Pour l'exprimer plus simplement il faudrait dire: « Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l'administre de façon volontaire ».

Le médecin courageux qui a révélé au grand public ce projet s'appelle Théodore A. Strecker. Il aurait dû être récompensé du prix Nobel, mais il peut s'estimer heureux de ne pas avoir été victime d'un suicide (le suicide typique, c'est le célèbre chercheur californien qui s'est ligoté les mains dans le dos, s'est pendu et a sauté ensuite du 20e étage. Aucune trace indiquant une intervention extérieure n'a été retrouvée [...] )

En 1978, une partie de la population américaine a été contaminée, à travers le vaccin contre l'hépatite B. Le Dr Wolf Schmugner, l'ancien compagnon de chambre de Jean Paul II, a été l'instigateur de cette opération, réalisée par le "Center for Disease Control", de novembre 1978 à octobre 1979, et de mars 1980 à octobre 1981. Schmugner est né en Pologne, il a fait ses études en Russie et a ensuite immigré aux États-Unis, en 1969. Par des chemins détournés, il a été nommé directeur de la banque du sang new-yorkaise. C'est lui qui a dispersé le virus du Sida sur l'Amérique du Nord. Il était responsable de la campagne de vaccination contre l'hépatite B, c'est lui qui a décidé du mode d'application, à commencer par les homosexuels. Par voie de petites annonces, on cherchait des homosexuels mâles de 20 à 40 ans. Ce qui a provoqué le Sida était contenu dans le vaccin, était fabriqué à Phoenix, en Arizona et était conditionné en bouteille. Toutes les données sur cette campagne de vaccination sont entre les mains du ministère de la Justice, où elles sont à l'abri pour longtemps.

Le signal de départ a été donné par le comité des Bilderberger, En Suisse, en même temps que d'autres directives importantes. Celle qui est la plus facile à démontrer est la Haig-Kissinger-Depopulation Policy appliquée par le State Department. La directive précisait que les pays du tiers-monde devaient entreprendre des actions efficaces pour réduire leur population et la contrôler, pour pouvoir continuer à bénéficier des aides des États-Unis. Si un pays devait contrevenir à cet ordre, il verrait bientôt éclater une guerre civile, montée de toute pièce par la CIA. C'est une des raisons qui font qu'au Nicaragua, au Slvador et dans d'autres pays, plus de jeunes femmes que de soldats ont été tuées. Dans les pays catholiques, ce sont les Jésuites qui ont fomenté les guerres civiles. Le Haig-Kissinger-Depopulation Policy a été soutenue par les gouvernements successifs, elle est devenue partie intégrante de la politique extérieure américaine. Tous lles moyens sont bons pour réduire la population du globe, la guerre, la famine, les épidémies, les stérilisations de masse, par l'USAID par exemple. L'organisme de planification ne se trouve pas à l'intérieur des murs de la Maison Blanche. Cette commission s'appelle Ad Hoc Group on Population Policy, elle dépend du National Security Council. L'état-majo est au State Departement's Office of Population Affairs, créé en 1975 par Henry Kissinger, alors ministre des Affaires Étrangères. C'est le même groupe qui a rédigé le rapport Global 2000, remis entre les mains du président d'alors Jimmy Carter.

Thomas Fergusen, chargé de mission au State Departement's Office of Population Affairs (OPA) pour l'Amérique latine a dit la chose suivante: « Il n'y a qu'une chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité de population. Soit ils le font comme nous voulons, c'est-à-dire avec des méthodes propres (Sida, stérilisation), soit nous assisterons à d'autres boucheries, comme au Salvador ou à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si elle échappe au contrôle des autorités, il faut un pouvoir autoritaire, s'il le faut fasciste, pour y remédier. Les professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des raisons humanitaires. C'est louable, mais il ne s'agit en fait que de matières premières et de facteurs d'environnement. Nous avons des raisons stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador n,est qu'un exemple parmi d'autres, qui montre que notre échec dans la réduction des populations a conduit à une grave crise nationale. Le gouvernement salvadorien n'a pas réussi, avec nos méthodes, à réduire la population de façon significative. C'est pourquoi il a eu droit à une guerre civile. La guerre civile est l'ultime tentative pour réduire la population. Le moyen le plus rapide d'y parvenir reste la famine, comme en Afrique, ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un jour s'abattre sur le Salvador ».


Les CONSTATATIONS EFFROYABLES:

- création de nouvelles maladies incontrôlables (dont le sida) et de
- modification permanente et héréditaire de notre code génétique dont nous ne pouvons (et surtout n'osons pas) anticiper les conséquences.

Voici un exemplaire du RAPPORT D'INCIDENT ADVERSE RELIÉ À L'ADMINISTRATION D'UN VACCIN. Ce rapport est fourni aux institutions médicales par LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ.

Des virus nouveaux se forment, se transforment, se multiplient, se transmettent d'une génération à l'autre par le sperme ou l'oeuf, le placenta et le lait maternel. Or, plusieurs vaccins sont faits avec des virus et proviennent de cellules d'animaux eux-mêmes contaminés par toutes sortes de virus. C'est ainsi qu'on eut la désagréable surprise de découvrir:

En 1960, que les cultures de cellules rénales de singes rhésus utilisées pour la fabrication du vaccin anti-polio étaient infestées du virus simien 40 (SV 40). Des millions d'enfants avaient donc été contaminés par ce virus simien 40 avant qu'on ne s'aperçoive de sa présence. Or, nous savons maintenant que le SV 40 cause: une déficience du système immunitaire + des anomalies congénitales + des leucémies (surtout chez les enfants de 2 à 4 ans) + des maladies malignes.

En 1973, des chercheurs démontrèrent que le taux des tumeurs cérébrales était des treize fois plus élevé chez les enfants nés de mères vaccinées contre la poliomyélite durant leur grossesse.

En 1980, des chercheurs trouvèrent des fragments de SV 40 dans des tumeurs cérébrales humaines. Il semble y en avoir dans 25 % des cas.

En 1987, on confirma que le HTLV4 provient des singes verts d'Afrique. Or le virus de la leucémie humaine est le HTLVI et le virus du sida humain est le HTLV3. Il en est ainsi du virus de la leucose aviaire qui contamina la plupart des vaccins contre la fièvre jaune et contre la rougeole jusqu'en 1962. Des millions de personnes les avaient déjà reçus à ce moment-là.


LA VACCINATION DONNE LE SIDA ->
GUERRE BACTÉRIOLOGIQUE

Contrôle démographique par les vaccins (V.I.H. et autres)
La vaccination est utilisée comme arme bactériologique depuis longtemps…que ce soit pour décimer des populations précises p. 125 G. Lanctôt


LE VACCIN CONTRE L'HÉPATITE B

Il y a une dizaine d'années, l'hépatite B était censée atteindre deulement les médecins et les infirmières, ceci au contact du sang d'un malade ou par suite de piqûres. On sait aujourd'hui que la maladie se transmet par voie sexuelle. Le virus de cette maladie a été découvert aux États-Unis en 1963. Les premiers vaccins furent réalisés et utilisés en 1976 par l'équipe du professeur Maupas, à Tours, en France. En 1991, dans ce pays, la loi rendit obligatoire la vaccination contre l'hépatite B pour le personnel de santé. Peu nombreuses, ces premières vaccinations n'ont pas été suivies et, par conséquent, on ne peut savoir quels effets secondaires se sont produits chez les vaccinés. Par contre, on sait que cette vaccination obligatoire pour le personnel de santé fut un échec avoué. De toutes façons, depuis 1976, il s'est écoulé trop peu de temps (20 ans) pour vérifier l'innocuité et l'efficacité du vaccin puisque les cirrhoses et cancers du foie mettent de 15 à 20 ans pour se manifester. Le recul n'est donc pas suffisant. Les enfants vaccinés à l'automne 1994 (plus de 500 000) avec l'Engerix B, et non suivis à cause de leur nombre, présenteront probablement des cancers et autre affections graves dans 15 ou 20 ans. Malgré cette évidence, les fabricants de vaccins qui considèrent que le temps est de l'argent et souhaitent réaliser un chiffre d'affaires et des bénéfices records, voudraient que la vaccination contre l'hépatite B devienne obligatoire. À cet effet, ils font pression de tout leur poids sur les instances politiques qui leur sont inféodées.

HEPATITE B
GenHevac B : le vaccin est produit par génie génétique, manipulation du vivant.
¨ Au lieu d'utiliser le virus ou la bactérie, on isole certains segments de leurs chromosomes puis on les greffe sur d'autres pour obtenir des éléments hybrides, non existants dans la nature. Il s'agit donc d'une manipulation du vivant.
¨ Pour le vaccin GenHevac B, il s'agit de fragments de chromosomes de deux virus, l’un de singe le SV 40 présent dans certaines cellules cancéreuses et l’autre de la tumeur mammaire de la souris, le MMTV.
¨ l'OMS, signalait qu'on pouvait retrouver dans le produit final des protéines capables de cancériser d'autres cellules.
¨ Ainsi, le vaccin contre l'hépatite B inocule de façon absolument certaine des substances éventuellement cancérigènes et des résidus de manipulations génétiques qui pourraient bien être à l'origine de cas de malformation fœtale.
¨ Détail encore plus inquiétant, il pourrait aussi contenir une certaine enzyme, la TdT (Terminal Desoxynucleotidyl Transferase) susceptible de modifier les gènes des cellules réceptrices et de multiplier ainsi les maladies génétiques chez les vaccinés et leur descendance.
Risque : ne pas être reconnus par l’organisme comme des protéines étrangères et être à l’origine de maladies auto immunes.
Risques de tous les vaccins recombinés : transmission de gène susceptible d’induire chez les vaccinés et leur descendance
-une cancérisation
-une maladie auto immune
-des malformations fœtales
-des maladies génétiques


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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {page 199} {Extrait 20}:

LES POURS ET LES CONTRES DES VACCINATIONS - - - >
D A N G E R S DES V A C C I N A T I O N S


SUICIDE ET CONTRÔLE DÉMOGRAPHIQUE
Sur 10 suicides au Québec c’est 9 gars qui se suicident. Les hommes n’ont plus de place dans cette féminisation sociale de la diplômation et de l’emploi.. Amenez les gens à se donner une société à leurs goûts. Alors, préparez des documents que vous remettrez en hauts lieux et qui dénonceront nos sociétés fondés sur le profit et la méritocratie (l’esprit militaire de la compétition, des honneurs…). Le jeune est sensible et effrayé par cette société qui prive ses parents de la sécurité financière et de vie. Des familles pauvres et endettées, des parents sous le Seuil de Pauvreté: c’est là où se déroulent les pires drames! Les parents sont tous d’anciens élèves, alors ne les blâmons pas trop de reproduire la pensée du système capitaliste. L’École préexiste aux individus, préexiste aux parents. Pourtant l’École, les spécialistes et l’État se déchargent sur la famille, ils ont besoin pour fonctionner de la tenir responsable des échecs qu’ils produisent par le barrage social qu’ils dressent.


L’HISTOIRE DE LA VACCINATION -> NOS CROYANCES BÊTES
Les vaccins sont tirés des pires cochonneries des 4 règnes : animales (pus), végétale, minérale et synthétique.

Autrefois, on amenait une vache, qu’on avait préalablement blessée et infectée, au cœur d’un salon dans une maison, on grattait sa plaie (son pus) et on l’inoculait dans le corps de l’enfant propre.

C’est depuis des milliers d’années qu’on s’imagine donner la santé avec des procédés malsains comme les médicaments qui sont des drogues, comme avec les mutilation chirurgicales, …



Catherine MARTINEZ, ABS31
QUANS LE SYSTÈME IMMUNITAIRE EST ATTEINT…..
Pour que les vaccins soient plus actifs, on utilise un adjuvant de l'immunité, de l'hydroxyde d'aluminium le plus souvent. La toxicité de l’aluminium, connue depuis longtemps, n’a pourtant rien changé à la politique vaccinale ou à la fabrication des vaccins.

La mission parlementaire d’information sur le "syndrome du Golfe" a été informée par le Pr. Gherardi de l'hôpital Henri Mondor, que le syndrome, qui présente de fortes analogies avec la myofasciite à macrophage, pourrait être lié à certains vaccins systématiquement injectés aux militaires (hépatites A, B, tétanos..). On a même démontré plus tard que les inclusions cristallines dans les macrophages étaient des cristaux d’aluminium (cf Gherardi & all. "Macrophagic myofasciitis: a reaction to intramuscular injections of aluminium containing vaccines", in Journal of Neurology n°246, 1999).
Ainsi, le vaccin contre l'hépatite B inocule de façon absolument certaine des substances éventuellement cancérigènes et des résidus d'outils de manipulations génétiques qui pourraient bien être à l'origine de cas de tératogenèse. Le rapport 747 de 1986 de l'OMS, signalait qu'on pouvait retrouver dans le produit final des protéines capables de cancériser d'autres cellules et surtout de l'ADN provenant de cellules de culture, avec le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences codantes ou régulatrices, potentiellement oncogènes. Pour le vaccin GenHevac B, il s'agit de fragments du génome de deux virus, le SV 40, virus de singe et le MMTV, virus de la tumeur mammaire de la souris.
Détail encore plus inquiétant, ce vaccin pourrait aussi contenir une certaine enzyme, la TdT (Terminal Desoxynucleotidyl Transferase), que l'on trouve dans diverses cellules normales et pathologiques. On la trouve aussi dans les rétrovirus, virus dont le génome est un ARN, susceptible d'induire dans l'ADN des cellules réceptrices des séquences nucléotidiques non désirables, et capables de modifier les gènes en multipliant ainsi considérablement les maladies génétiques et autres aberrations chromosomiques chez les vaccinés et leur descendance.



CONSIDÉRONS CECI…..
C’est souvent le vaccin qui déclenche la maladie
Les vaccinations provoquent des épidémies de leucémie.
Les vaccinations sont la cause de réveils latents d’infections
Les vaccinations font le lit des cancers
Les vaccinations sont mutagéniques et sont responsables de tares héréditaires, d’infirmités et de paralysies qui font souvent suite à la vaccination de façon très évidente
Les vaccinations sont tératogéniques : elles créent des monstres, des enfants difformes
Les vaccinations sont plus nuisibles qu’utiles
Des cellules cancéreuses se développent souvent aux endroits qui ont été vaccinés

<LA VACCINATION>>! C’est ce qu’a déjà dit M. Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale et ancien secrétaire d’État des U.S.A. qui ordonna des bombardements massifs du Vietnam et qui était un instigateur du P.E.V. (Programme Élargi de Vaccination).
Et ils ont choisi des populations cibles comme les homosexuels, les pauvres (l’Afrique), les humanistes et défenseurs des peuples…

L'immunité n'existe pas. C'est un mythe. Les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets, à moins d'affaiblir la résistance et de tuer l'individu.

Le 1er décembre est la journée Internationale du SIDA.
Que les CLSC cessent de transmettre le SIDA par les vaccinations.
L’Afrique est le Pays le plus vacciné au monde : et ce n’est pas un hasard si c’est aussi en Afrique où il y a le plus de cas de SIDA dans le Monde.

Au Québec, 70 000 enfants sont vaccinés à chaque année. Cela coûte environ 4 millions $





Conclusion


SYSTEME IMMUNITAIRE détruit par les vaccins
.
L'homme a progressivement acquis et consolidé son immunité, instaurant un équilibre entre les virus des maladies infantiles et l'environnement et il n'est pas possible de prévoir à longue échéance ce que peut engendrer la rupture de cet équilibre par les vaccinations.

De plus, l'immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n'est pas le cas pour la vaccination dont la protection, si protection il y a, -les taux d’anticorps mesurés après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux mesurés après les maladies-, est limitée.
Dès 1984, le Pr. Richard DeLong, virologue et immunologue de l'Université de Toledo (Texas), écrivait dans "A Possible cause of AIDS and other new diseases", qui traite des origines de l'apparition du Sida et autres nouvelles maladies:
" L'introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d'infection. [...]. Le mal qui est fait est incalculable ".
En tant qu'immunologue, il pense que les virus vivants peuvent retrouver leur virulence et favoriser la rupture de leur équilibre dans les domaines écologique et épidémiologique. Il trouve inconcevable que la plupart des promoteurs de vaccins ignorent ce que les virologues ont déjà découvert et qu'ils continuent, sans aucun scrupule de conscience, d'infecter des humains avec des virus vivants au nom de l'immunologie..

Comment nous protéger de ces paranos du Pouvoir et du Contrôle Planétaire et Démographique (La et LE GÉOPOLITIQUE militaire)?


Et bien : NE VOUS FAITES JAMAIS VACCINER

Et puis éviter les médecins et leurs potions magiques (médicaments).


Le livre « La rançon des vaccinations » par F. et S. Delarue





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par Viny Eden, mon e-mail soleilpourtous@hotmail.com

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