Nombre total de pages vues

samedi 3 octobre 2009

SPORT ET VIOLENCE CONJUGALE..... LE SPORT généralise la violence

Si chacun de nous connaissait bien ses droits économiques et collectifs, et respectait les besoins de tous à UNE VIE DÉCENTE et à la SÉCURITÉ FINANCIÈRE tout comme il connaît par coeur tous les noms des joueurs de hockey , de football ou de soccer: la vie serait meilleure pour tous.



La force négative du sport est bien là : on y parle toujours de ce qui n'existe pas pour ne pas avoir à parler de ce qui existe...

Le sport est une guerre en miniature qu'il faut gagner par tous les moyens.

Où l'Autre n'est accepté que comme adversaire à dépasser, à détruire symboliquement. L'univers de l'Humain disparaît derrière l'univers des points, des centimètres et des centièmes de seconde. L'instrumentalisation de la machine humaine et la conception techniciste du sport conduisent à une paupérisation physique et non a un développement corporel harmonieux. Le vrai champion est agressif, motivé, dominateur, narcissique ; il sait s'abstraire au maximum du monde dans lequel il vit, cultive son moi et fixe toutes ses pensées sur son objectif ; il obsessionnalise.

Ce refus de l'altérité s'exprime dans la sémiologie sportive : "J'ai la haine", "je vais le tuer", "on l'a fusillé, mitraillé, crucifié".



CE N'EST PAS LE MONDE DES MEILLEURS QUE L'ON VEUT :
MAIS UN MONDE MEILLEUR
parce que sous des États Humanistes


Des femmes offrent leurs cœurs, leurs corps et leurs seules vies à des idéologies débiles afin de survivre...... pas fort!

Ô FEMMES, NOUS N'AVONS PAS À COMPÉTITIONNER AVEC NOS ENFANTS OU NOS PARENTS ni contre qui que ce ne soit: garder vos énergies pour vos enfants, pour aimer vos maris convenablement et vos ménages seront harmonieux.....
Aimer et avoir des enfants pour en faire des capitalistes des communistes prolétaires (dont le but dans la vie n'est que le travail), ou encore des socialistes de droites qui jouent à la gauche ( GAUCHE BOURGEOISE): c'est aberrant !!! Non, non, non et non! Accouchez toutes d'abord d'un État Humaniste et là, vos enfants seront élevés fraternellement et non plus en cinglés fuckés égoïstes malheureux.

JOKE
Pourquoi des femmes sortent avec des faibles ???
Pour se sentir forte !!!




Les morts se comptent par dizaines sur les rings de boxe, sur les circuits automobiles, sur les parcours de triathlon, sur les pistes de ski et dans toutes ces courses suicidaires où l'on défie la mort pour mieux renaître à la vie. Depuis 1945, environ 400 boxeurs ne se sont jamais relevés et beaucoup d'autres ont subi des séquelles irréversibles. En octobre 1995, trois d'entre-deux sont morts dans la même semaine sans réveiller les consciences et surtout pas celle de la presse. La boxe - spectacle des coups, du sang et de la brutalité "gratuite" - est une "école de la vie" (un facteur d'intégration nous dit-on !) dans un modèle de société où "l'homme est un loup pour l'homme". Dans une société vivante, civilisée, elle doit être être bannie.

Selon la Bible, une rivalité exacerbée n’est que “ vanité et poursuite du vent ”. — Ecclésiaste 4:4.

La mort rôde également sur les circuits automobiles. Toujours plus vite, toujours plus riche et au bout de la gloire, le grand saut. Jouer avec la mort comme pour se venger de son inutilité et se croire courageux alors qu'on passe sa vie à ramper et dans la peur de tout.

Désarmés devant des attitudes si éloignées des valeurs humanistes proclamées par tous ce gens qui paradoxalement se retrouvent à applaudir ceux qui se battent dans le sport.

SPORT: PRÉPARATION À L'ARMÉE

Le procès de la violence dans le sport

L'ambition, le prestige, l'argent, la pression des entraîneurs, et parfois de certains parents, créent aussi un climat malsain, propice à la violence. – Lorsque l’on met les pieds dans un centre sportif, on se rend vite compte que les spectateurs (souvent des parents) prennent la partie plus à cœur que les bouts de chou sur la patinoire. Les parents sont trop exigeants envers leurs enfants. L'État ÉLITISTE se déresponsabilise et se sert de la famille comme bouc émissaire.

Violence symbolique, violence réelle
Le sport est un lieu d'expression de la violence. Le sport est avant tout une utopie de sociabilité.
"Le sport est mort jouée et violence rituelle, mort jouée c'est-à-dire symbolique, c'est-à-dire une mort qui n'est pas réellement mort.
Dans la foulée de nombreux sociologues certains relevèrent les vérités anthropologiques suivantes : d'abord, l'essence du sport est bien la mise à mort rituelle des combattants et il a bien un rapport natif à l'affrontement individuel et à la guerre.

Le SPORT a encore une fonction sociale de préparation à la guerre, de "rebronzage de la race" (Coubertin), de maintien de la vigueur physique que pour conditionner à la haine dans la division des divisions divisées.
Frivolité qui sait massacrer
Du massacre symbolique au massacre réel, le pas était franchi. La population sportive est une population à risques dont le coût dans les comptes sociaux mériterait d'être précisé. Les campagnes de sensibilisation, la sévérité accrue ne peuvent rien changer à la violence structurelle du sport. L'agressivité est banalisée, la violence des pelouses nourrit la violence, le chauvinisme, le nationalisme des tribunes. Le sport convoque la multitude, rassemble les masses, les entasse pour célébrer le culte guerrier du ballon rond ou ovale et il suffit d'une falsification dans le spectacle pour que la meute vociférant des supporters hystérisés se transforme en horde assassine. Erich Fromm écrit : "La compétition sportive inflige des blessures au narcissisme l'une des sources les plus importantes de l'agressivité défensive".

La violence est omniprésente: des hockeyeurs sont éjectés par dessus la bande après avoir été accueillis avec force par un adversaire, des boxeurs n'y voient plus rien tellement leurs yeux sont bouffis par les multiples coups, des lutteurs grimacent de "douleur (permettez-moi d'en douter...)" suivant une prise administrée par des adversaires, etc. Malgré toute cette disgrâce, le public sur place, lui, en redemande et applaudit à tout rompre par plaisir...

Si on n'a pas le droit de se battre dans les rues, et que l'on peut se faire arrêter, alors pourquoi se battre sur une patinoire? De plus, plusieurs jeunes enfants assistent à des matchs, la bagarre peut grandement les influencer!".

Un hooligan est un adepte d'un sport utilisant la violence pour peser sur le sort d'une rencontre. Le hooligan n'est pas la seule catégorie de supporters s'autorisant à faire usage de violence ; voir Hools ou barra bravas. Ce terme est aujourd'hui lié au football, Les hooligans associent souvent les membres de leur groupe comme les membres de leurs familles et sont associés dans la victoire, la défaite. Ils sont solidaires et se portent un grand respect. La famille hooligan est souvent plus importante que leur famille biologique. Le mot serait mentionné dans des rapports de la police londonienne pendant l'été 1898 et repris dans les colonnes du journal Daily News en référence à un ivrogne irlandais notoire, Patrick Hooligan, demeurant à Londres et régulièrement impliqué dans des bagarres. Une famille du XIXe siècle portant ce nom aurait aussi été connue pour avoir un mode de vie sauvage et violent.

Il ne faudrait pas robotiser les hommes, vouloir toujours pousser plus loin les performances au détriment de la santé du joueur et transformer ainsi le sport en victime et non en vitrine de la société. Par contre, des intérêts géopolitiques de prédateurs modernes qui y voient la possibilité d’y développer leurs capacités financières, leur image et leur pouvoir Étatiques, contribuent ainsi à faciliter certaines dérives.

Le jeu ne fait plus partie intégrante de la vie des jeunes. «Il y a cette espèce de culture de performance à tout prix qui existe. C’est comme si jouer c’était du temps perdu. Il faudrait peut-être que ce soit plus efficace. Quand un jeune se sent poussé par la foule, il n’est plus lui-même. Lorsqu’il y a impunité le jeune ne veut que se faire justice à lui-même.». Un jeune dit: Pour moi, se battre, c'est comme si on frappait quelqu'un avec un couteau...". QUAND LA VIOLENCE SPORTIVE MÈNE À L'ESPRIT DE GUERRE.

Sociologues et psychologues témoignent des violences qui s'y exercent contre les femmes et les enfants, victimes de maltraitances. Les divorces de plus en plus fréquents ne sont-ils pas une forme de violence faite contre l'institution familiale d'une part et les enfants de l'autre, qui en perdent repères et modèles pour se construire dans la vie. QUAND LA VIOLENCE ENTRE DANS LES FOYERS PAR LA TÉLÉ.

Il suffit d’aller au Colisée Pepsi pour se rendre compte à quel point la violence est omniprésente dans le hockey, que ce soit sur la glace ou dans les tribunes. Avec six ou huit batailles par rencontre, les matches du Radio X sont de biens meilleurs endroits pour voir des affrontements, que n’importe quel ring de combats extrêmes. Et la violence atteint son paroxysme lorsque les amateurs s’y mettent, et insultent ou arrosent de bière l’équipe adverse. . . Aux États-Unis, la NBA (National Basketball Association) a vécu l’un des épisodes les plus noirs de son histoire en 2004, quand les Pacers de l’Indiana se sont battus avec des amateurs et se font fait agresser verbalement et physiquement à leur sortie du terrain.

Les stations de télévision obtiennent des cotes d'écoute plus élevées lorsqu'elles diffusent des sports dans lesquels il y a beaucoup de conflits. Il y avait peu de violence au hockey à l'époque où ce sport n'était diffusé qu'à la radio. « Les sports extrêmes n'existeraient pas sans la télévision. » « Les sports extrêmes incitent les enfants à participer à des activités dangereuses. »

Prenons conscience de la quantité de violence retrouvée dans divers sports professionnels. Comprendre comment les médias font de la violence dans les sports un outil de commercialisation. Quel message la violence dans les sports transmet-elle aux enfants ? (C'est correct de jouer de cette manière ; la violence est un moyen acceptable d'exprimer de la colère ou de la frustration ; cela fait partie du sport ; si tous les coups sont permis tant qu'on ne se fait pas prendre, à quoi cela servirait-il de jouer franc jeu ?). Sensibilisons les élèves du primaire à la présence de la violence dans les sports, ainsi qu'à la façon dont ils sont influencés par cette violence. En général, les joueurs de hockey qui se battent ne sont plus des enfants - ils ont entre 20 et 25 ans et parfois plus. Certains sont pères de famille. Que se passerait-il s'ils se conduisaient de cette façon en dehors de la patinoire ? Par exemple, s'ils donnaient des coups à un commis de Canadian Tire qui refuse de reprendre des patins défectueux ? (Ils seraient accusés de voies de fait !)

Sports juniors, la nouvelle épidémie de violence

Gagner à tout prix.... La Bible dit : “ Parents, n’exaspérez pas vos enfants. ” — Éphésiens 6:4. N’oubliez pas que “ les enfants sont délicats ”. (Genèse 33:13.)


Le drame du Heysel, survenu le 29 mai 1985 à Bruxelles en Belgique, est l'une des tragédies les plus marquantes liées à une manifestation sportive, et due au hooliganisme. Il eut lieu à l'occasion de la finale de Coupe d'Europe des clubs champions 1984-1985 entre le Liverpool Football Club et la Juventus Football Club. Des grilles de séparation et un muret s'effondrèrent sous la pression et le poids de supporters, faisant 39 morts et plus de 600 blessés. Ce n'est pas uniquement au cours de ces dernières semaines que nos gradins ont été secoués par la violence de supporters en colère. Le football n'était pas assassiné comme le titrait le quotidien sportif L'Equipe, il était devenu assassin...
On feignait de découvrir que le sport n'est pas un jeu ou un divertissement (au sens de l'ancien français "desport") mais une vision du monde avec ses "valeurs" : la combativité, l'agressivité, la hargne, la haine, le désir de vaincre, l'obligation de résultats, l'exclusion des "pas doués", la soif d'honneurs, le rendement (et sa longue liste de sportifs cassés à vie), le record (et son adjuvant essentiel le dopage), la productivité (et son lot de laissés-pour-compte).

La violence sournoise et insidieuse qui accompagne continuellement la logique mortifère du système de la compétition généralisée ("la guerre de chacun contre chacun" dirait Hobbes) est toujours dénoncée du bout des lèvres et très mollement combattue par les meutes sportives (dirigeants, pratiquants, spectateurs, journalistes, etc.). Toutes ces "foules à l'état pur" sont toujours prêtes à vibrer, à s'enthousiasmer, à délirer, mais aussi et surtout à "prendre du plaisir" même quand le grand cirque du sport dresse son chapiteau à Berlin en 1936 pour les Jeux Olympiques ou dans l'Argentine du Général-dictateur Videla en 1978 pour l'organisation de la Coupe du monde de football.

Comment vous sentez-vous lorsque quelqu'un vous fait trébucher ou vous donne un coup de bâton pendant un match ?



DE LA VIOLENCE SPORTIVE À LA VIOLENCE CONJUGALE

Le sport est "la seule occupation humaine où les femmes acceptent le principe qu'elles sont inférieures à l'homme et incapables de concourir avec lui". Se développe ainsi, à tous les échelons de l'institution, un sexisme qui existe non seulement dans les troisièmes mi-temps de rugby mais aussi dans la pratique du sport, son organisation et son langage. Sur les terrains ou dans les vestiaires, ce sont les petits couplets machistes qui résonnent : les "on n'est pas des gonzesses" des mâles virils s'élèvent là où l'on ne pratique pas des "jeux de fillettes".

L'UTILITARISME
Le sport discrimine et unifie à la fois en imposant son principe moteur : le rendement. L'individu est transformé en pur producteur de résultats, l'objectif n'étant pas le développement personnel mais le progrès de la performance quel qu'en soit le prix. "Pour sortir un champion on en tue des centaines" affirmait un jour l'un des entraîneurs de l'équipe de natation des Etats-Unis. Et à l'entrée des vestiaires du stade des footballeurs américains, les Minnesota Vikings, on peut lire : "Mourir est moins grave que perdre. Car un vaincu finit ses jours dans la honte de la défaite". Corps-machine et corps-souffrance

Le fol espoir mais aussi la terrible inquiétude de la communauté sportive est la production du robot soumis à la loi universelle. La physiologie, la biomécanique, l'informatique, l'ergonomie, la diététique, la médecine, la psychologie visent la création de l'être indépassable, préparent en commun la naissance du surhomme, de l'homme a-corporel qui signera, demain, la mort définitive du progrès sportif et du sport. Et de sa violence multiple, institutionnalisée, fascinante et fascisante

Le sport est-il une alternative aux comportements violents ou au contraire fait-il naître la violence?

Les meutes sportives tiennent du contexte étatique élitiste des uns sur les autres (et pas ''AVEC'' les autres)

La violence sportive ne cesse de gagner du terrain en diversité, en intensité et en universalité ..... Londres nous fait croire que la violence est l'élément constitutif de toute société

On oublie de mentionner que la haute compétition en natation comme dan tout autres sports, loin d'être assomption du corps, est un véritable abrutissement du corps, à la limite de la torture physique (voyez comment les coachs crient après leurs footballers pour les ''crinquer'' comme des coqs prêts à tout défoncer), et que toute compétition, en tant qu'affrontement d'homme à homme, ou de corps à corps, EST VIOLENCE QUI ENTRETIEN D'AUTRES VIOLENCES.

LES ÉTATS HIÉRARCHISTES par le SPORT DE MASSE MÈNE À LA FAILLITE DES IDÉAUX
Le Sport : préparer et former à la violence (l’apprentissage de l’autocontrôle à la violence: foutaise)..... Le sport multiplie les formes de violences dans la société.
Autrefois les États formaient les enfants à la violence, ils en faisaient des guerriers dès leurs jeunes âges et les initiaient en même temps aux rituels homosexuels sous la tutelle des vieux guerriers enseignants. Toute la société grecque était des clubs d'homosexuels qui préparaient à la guerre via le SPORT de combat et l'homosexualité pour lier les guerriers en couples.

Les sports et la violence… La justice se rend à la patinoire
Dans une salle d’audience de Vancouver, le 4 avril 1999, le défenseur des Bruins de Boston, Marty McSorley fut formellement accusé d’un chef d’agression armée. Son arme, un bâton de hockey. Le fait d’être sur la patinoire de hockey, ne devrait pas accorder une licence pour commettre des crimes. De plus, permettre de commettre de tels actes sans sanctions pénales serait de passer un message inquiétant, surtout aux jeunes. Quand vous jouez au hockey, vous savez, ou même "consentez", au fait que vous serez poussés et qu’il y aura de la bousculade pour gagner la contrôle de la rondelle. La question est de savoir à quel moment les actes vont-ils au-delà de ce qui est acceptable dans le sport et au-delà de ce que les autres participants acceptent. C'est à ce moment que le Code criminel trouverait son application et que l'agresseur devrait répondre pour ses gestes, au niveau pénal. La question, que bien des gens se posent, est de connaître le rôle de la LNH dans cette affaire. Plusieurs affirment que la LNH aime ces incidents violents puisque la violence, c’est vendeur. En d'autres termes, bien qu'un joueur puisse consentir "à être frappé", le consentement s’arrête au moment où l'acte dépasse ce qui est "acceptable" dans ce sport.
En outre, la Cour suprême du Canada a soutenu que, tandis que deux individus peuvent consentir à vouloir se battre et ainsi ne plus pouvoir argumenter, plus tard, du fait qu'un ou l’autre a été agressé, il n’est pas possible de consentir à l'agression causant une lésion corporelle ni à l'agression armée. Indépendamment du consentement, un tel acte constituerait une agression criminelle. Le sport professionnel doit être perçu comme une vitrine, source d’aspiration pour les jeunes et ayant des buts et des caractéristiques que nous recherchons à imiter, alors sûrement que nous ne pouvons permettre au hockey d'être à l’abri de l'application du droit pénal. Quelque chose à considérer la prochaine fois que vous regarderez un match de hockey professionnel….

Inventé en premier lieu pour parfaire l’éducation des jeunes gens appartenant à la « haute société anglaise, l’aristocratie terrienne et la gentry » le sport, en raison de l’émergence des temps libres, s’étend progressivement au reste de la société en offrant, tout à la fois, un moyen « d’apprentissage du contrôle et de l’autocontrôle des pulsions » (respect des règles, de l’adversaire, de l’arbitre, apprentissage technique, coopération entre les pratiquants des sports collectifs, etc.) et un « espace toléré de débridement des émotions » (pratique physique servant d’exutoire, présence de spectateurs qui encouragent et vocifèrent). L’intérêt et la force du travail d’Elias résident dans sa capacité à articuler politique et culturel en même temps que collectif et individuel en réussissant à articuler contrôle de la violence dans et par la société et apprentissage de l’autocontrôle.
Le sport est un autre instrument britannique qui se protège contre ces tensions qu’elles créent eux-mêmes.en permettant un « espace toléré de débridement des émotions », un moyen de « contrôler - décontrôler » les émotions.

L'EXACERBATION des enjeux sportifs (économique, géopolitique où les élites de Londres divisent l'Humanité sciemment et l'amuse par le Sport pour mieux la manipuler)

L'EXASPÉRATION des passions sportives où les gens s'y défoulent comme exutoire à leurs sentiments d'impuissance généralisés face à leurs viens en général.

Une femme sur huit victime de violence conjugale

Si l’alcoolisme ou la misère sont parfois des facteurs aggravants, ils ne sont pas les causes profondes de cette guerre des couples et des familles. LA VIOLENCE EST PARTOUT DANS NOS MÉDIAS. Il n'y a pas un film où l'on ne voit pas un homme gifler une femme.

LE SPORT généralise la violence


156 femmes sont mortes sous les coups de leurs conjoints en 2008. “C’est une situation inacceptable”, a déclaré mercredi soir sur Europe 1 Nadine Morano. La secrétaire d’Etat chargée de la famille et de la solidarité a confirmé que la France allait bien expérimenter en 2010 un bracelet électronique sur les maris violents.

Le nombre de cas de femmes battues grimpe en flèche aux États-Unis le ... Quelques jours avant l'événement sportif, .....


Combien d'enfants sont affectés par cette violence?

Le sport devrait être un amusement, et non une source de conflits.


Beaucoup de parents chrétiens, par exemple, constatent que leurs enfants sont très contents de jouer avec d’autres jeunes chrétiens dans le jardin de la maison ou un parc public. Et de cette manière, ils savent qui leurs enfants côtoient.
Des sorties en famille sont d’autres bonnes occasions de s’amuser sainement.
Mais, ne l’oublions pas, “ l’exercice corporel est utile [seulement] à peu de chose, mais l’attachement à Dieu est utile à toutes choses ”. (1 Timothée 4:8.)
=========================

Voici ma pensée désirante....
JÉSUS et sa mère Marie continuent de séduire l'Humanité par les Valeurs Fraternelles (Jésus) et la Miséricorde (Marie) qu'ils représentent..... Jésus n'était pas un guerrier, il n'a jamais parlé de tuer mais de pardonner; il dénonçait les hiérarchies et l'équité-guerrière-de-l'Ancien-Testament et parlait d'ÉGALITÉ; ..... De nos jours, Jésus dénoncerait le sport, la compétition, la concurrence afin de prôner ce qui ne divise pas mais ce qui unit et est pacifiste et non combatif.
Voici peut-être la réalité .....

De RAEL à ISRAEL (Isis Ra El)

Attention mes ami(e)s, cela fait parti de mon objectivisme et de mon impartialité de penser aussi loin que cela afin d'essayer de mieux comprendre ce qui se passe actuellement à travers ce qui s'est passé autrefois....
Je vous avoue que certains écrits sur Jésus mon séduits tels : ''AIMONS-NOUS LES UNS LES AUTRES; Si on vous frappe tendez l'autre joue; Qu celui qui est sans fautes lance la première pierre; ......'' ... MAIS .....
MAIS..... les dominants de tous temps ont toujours su nous manipuler avec ce genre de belles pensées ...... et nous, pas suspicieux pour un sous, on embarquait tous car hypnotisés par ces messagers d'amour que les Tyrans utilisaient pour nous convaincre de nous défendre et de nous battre pour eux. Toutes ces ''Guerres Saintes'' dont nos ancêtres ont participés avec une foi et un ardeur aveugles et sanguinaires parce que mentis et manipulés par des malfaisants égoïstes vaniteux, cupides, sans morale et qui se disaient croyants mais ne croyaient qu'en eux. LES MANIPULATEURS NOUS AMUSENT AVEC LA FOI, LES RELIGIONS, LE SPORT, LES DRAPEAUX .....

À ces robots qui sortent du travail et
leurs ''réalités-de-suiveux''

Une télé-série comme ''Lance et compte'':
plutôt
''Silence et compte'' (sourd)
''Taie-toi et joue'' (muet)
''Bois et bois, saoule-toi'' (rampe)
''Dors et dors'' (autruche)
''Prie et prie'' (accepte tout)

=============================





Aucun commentaire: